Combustion spontanée

Devant de telles guiboles, une telle poitrine, un tel derrière, comment rester insensible, on n'est pas de bois ! Elle le sait et elle en jouit. Se placer dans la lumière, jouer de la transparence diaphane des sous-vêtements ou des mailles du filet qui lui fait office de jupe est un divertissement pour elle dont la tête blondasse évoque les chauds rayons du soleil. À travers les deux loupes de ses yeux de braise, brille un feu qui appelle et éclaire littéralement. Débarrassé d'artifices elle est encore plus belle. Ses lolos alors pointent vers le ciel, sa lézarde est la station d'accueil du vaisseau mère, unique planque de salut. Quand elle fait la faveur d'une sucée, on en veut davantage. La saisissant à bras le corps, sans chercher de position plus confortable, le veinard qui l'a approché de suffisamment près l'embroche sur son javelot dressé, la possédant absolument, là, debout au milieu de la pièce. Dans son dos elle se laisse pénétrer alors que ses lolos sont offerts à ses yeux et à ses mains. Sa bouche aussi est à vous, elle rallume le désir en faisant de la respiration artificielle avec l'organe charnu de la bouche. Renversée dans une position qui révèle sa fente et son derrière elle se laisse baiser à même le sol, se faisant fendre en deux. Agenouillée elle reçoit enfin tout votre émoi dans une giclée de sperme chaud.

» rencontres à Le Croisic

MARDI 5 OCTOBRE 2010

Pour répondre à cette annonce et voir la vidéo, Veuillez indiquer :

@